Ici, très peu de sushis, mais des bentos qui changent tous les jours, avec petits bijoux dans chaque compartiment. Dans la vitrine, on peut aussi pointer du doigt tandis que le ventre gargouille des udons, donburis, sobas ou du tiramisu au thé vert.
Certains jours maussades, le « bœuf sur les nouilles » suffit à illuminer moral et journée. On aimerait que l’adresse soit également ouverte le soir tant on aime, mais surtout, surtout : longue vie à Doma !